L’algue chlorella et les métaux lourds : composition et culture

La chlorella est une algue qui aide à l’élimination des métaux lourds. La culture doit donc être particulièrement exempte de polluants. Si ce n’est pas le cas la composition de la chlorella pourra être élevée en mercure, plomb, cadmium…

Préservée pour nous pendant des milliards d’années, abondante sur toute la terre, une micro-algue bourrée d’éléments nutritifs est en passe de devenir l’aliment le plus complet, le plus apprécié et le plus recherché.

Des millions de gens de par le monde consomment de la chlorella quotidiennement.

Découverte il y a juste cent ans, elle était étudiée et utilisée uniquement en laboratoire de microbiologie.

La Chlorella va se révéler comme une source de vie importante, tant au niveau de notre santé, qu’aux niveaux industriel ou écologique.

La composition exceptionnelle de la chlorella, sa haute teneur en chlorophylle, sa membrane cellulaire, son noyau, son facteur de croissance, sa capacité de se fixer et d’éliminer de nombreuses substances toxiques, qui la différencie des autres plantes.

Pas étonnant qu’elle ait reçu les surnoms de « Grande Régulatrice » ou de « Joyau Vert ».

Histoire de la Chlorella

La Chlorella fut découverte au siècle dernier par un micro-biologiste hollandais nommé Beyerinck, qui, grâce à un puissant microscope, l’identifia et la nomma. De la grosseur d’un globule blanc (2 à 6 microns), c’est une petite sphère contenant un noyau entouré de chloroplaste, le tout protégé par une membrane cellulaire. Elle se reproduit en eau douce par division cellulaire grâce à la photosynthèse. Cette reproduction est extrêmement rapide, puisqu’une cellule se divise en quatre toutes les vingt heures environ. Elle est très répandue sur la terre : on la trouve dans les ruisseaux, les lacs ou les forêts humides. Certains fossiles trouvés en Allemagne datent de deux milliards et demi d’années. On peut donc penser que la Chlorella est une des premières algues apparue sur terre. Depuis cette époque, elle s’est reproduite sans se complexifier.

Elle est très résistante notamment à la sécheresse, et possède également la capacité de se reproduire dans le noir. Ce sont deux phénomènes presque uniques pour une plante !

C’est à la fin des année 50, au japon, que l’on développa les premières grandes cultures. Mais la membrane cellulaire de la Chlorella s’avéra non digestible et, donc, les éléments nutritifs contenus à l’intérieur de la cellule ne furent d’aucune utilité. Il fallu attendre 1975, et l’invention d’un procédé de broyage de la membrane appelé Dynomill, pour qu’enfin la Chlorella soit digestible à plus de 80%.

Depuis, recherchant toujours une meilleure qualité, la production principale de la Chlorella s’est déplacée à Taiwan, où les conditions d’ensoleillement et la qualité de l’eau sont optimales.

Culture de la chlorella

Il existe trois variétés de Chlorella cultivées actuellement. A Taiwan, seule la Chlorella Pyrénoïdosa est produite. Elles est d’ailleurs considérée comme la meilleure variété.

Le processus de fabrication simplement énoncé se compose comme suit : les souches de Chlorella sont trouvée sans les rivières. Les cellules sont reproduites en éprouvettes sous de la lumière artificielle jusqu’à l’obtention d’une densité suffisamment importante. Après quoi, on la dispose dans des bassins extérieurs d’eau extrêmement pure et perpétuellement brassée.

Chaque jour, la production quadruple. Chaque semaines, elle est déplacée vers un bassin plus grand . Le cycle complet, de l’éprouvette jusqu’au produit final est de cinq semaines environ. Après la récolte, la Chlorella est nettoyée plusieurs fois à l’eau pure et centrifugée pour éliminer l’eau, les résidus et les cellules non adéquates. L’étape suivante est le séchage par « spray dry », méthode préservant le mieux le taux de chlorophylle et les nutriments. La poudre ainsi produite sera mise en comprimés par compression.

Ce sont les Japonais qui en consomment le plus : prés de 1000 tonnes par an.

Il existe dans ce pays plusieurs instituts de recherche médicale et scientifique spécialement conçus pour la Chlorella. De nombreux diplômes et doctorats y sont octroyés chaque année. Elle est si populaire que le gouvernement a créé des cours d’information dès l’école primaire.

En plus l’aspect alimentaire (du fait de la capacité de la Chlorella à se fixer aux mentaux et aux substances toxiques), de nombreuses recherches sont poursuivies actuellement aux Etats unies, au Japon et en Europe, sur sont utilisation pour l’épuration des eaux usées de nos villes, ou même pour le recyclage des métaux précieux en solution dans les eaux des mines d’or, par exemple !

Voilà ce qui a donné à la Chlorella sa popularité et ce qui la différencie des autres algues :

La Chlorella contient le plus haut taux de chlorophylle parmi toutes les plantes : 3%. Or, on sait par de nombreuses recherches scientifiques que la Chloryphylle peut améliorer entre autres la croissance animale ou bactérienne, le métabolisme, la respiration, la mauvaise haleine, les infections, la cicatrisation des plaies, l’artériosclérose, l’hypertension et la qualité du sang. La Chlorella contient, de manières équilibrée, des vitamines, des protéines, des minéraux et la plupart des acides aminés essentiels.

Alors qu’au début des années 70 on pensait le membrane inutile car non digestible, il fut établi qu’elle est en grande partie responsable pour la détoxication de l’organisme.

La membrane est composée d’un matériau fibreux qui améliore les fonction intestinales, absorbant les toxines, stimulant la production de bactéries utiles, telles que les lactobacilles, et celles qui produisent la vitamine B12, améliorant les péristaltisme en éliminant tout problème de constipation en quelques jours.

C’est également un agent de désintoxication du côlon se fixant à de nombreux pesticides hydrocarbonés, à des insecticides, à la Dioxine et à des métaux lourds tels le cadmium, le plomb, le mercure et bien d’autres, pour qu’ils soient éliminé par les selles.

Cette propriété de se fixer aux substances toxiques différencie la Chlorella se retrouve rarement chez une plante. La Chlorella contribue à l’abaissement du taux de Cholestérol, en fixant les els biliaires et en empêchant leur réabsorption.

Un autre élément que l’on retrouve dans la membrane cellulaire est un polysaccharide complexe dont on a montré en laboratoire qu’il induit la production d’interféron par notre organisme. L’interféron nous protège des infections et présente une activité anti-tumorale.

Tous ces effets combinés de régulation du transit intestinal, d’élimination des substances toxique et de renforcement de notre système immunitaire font que la Chlorella peut jouer un rôle de contre poison idéel face a notre environnement de plus en plus pollué.

La dernière particularité de la Chlorella est son noyau. En plus d’une combinaison exceptionnelle de nutriments essentiels, il contient ce qu’on a appelé le CGF (le facteur de croissance de la Chlorella).

Pendant la photosynthèse chaque cellule de la Chlorella se divise par quatre chaque vingt heures.

C’est le CGF de la chlorella permet cette division extrêmement rapide. Le CGF est une combinaison exceptionnelle de substances qui inclut des acides nucléique, des acides aminés, des peptides, des vitamines, des protéines et des sucres.

La concentration d’acides nucléiques nous apporte une énergie incroyable. Le CGF contient au taux élevé d’ADN/ARN et d’autre nutriments qui stimulent la croissance et le système immunitaire, assurent une fonction anti-mutagène et contribuent à la régénération des tissus.

La Chlorella est l’algue la plus basique connue.

La Chlorella rétablit l’équilibre acido-basique de l’organisme avec un processus de régénération cellulaire.

Des expérimentations récentes ont prouvé que le CGF stimulait le métabolisme cellulaire de 60%.

La Chlorella est un véritable trésor de santé dans ce monde pollué d’aujourd’hui.

La chlorella est naturelle. Elle reste telle que la nature la crée il y a 3milliards d’années, concervant son organisation cellulaire, son potentiel vital.

La Chlorella transorfme le gaz carbonique en oxygéné et les déchet organique en substances non toxiques pour le corps.

Intérêt nutritionnel et thérapeutique

Régulateur intestinal :

Aide a la régulisation de l’activité intestinal, elle détoxique, désodorise l’intestin et favorise le péristaltisme et le transi intestinal. Les substances nucléique de la chlorella activent les macrophages du systeme immunitaire qui détruisent les substances étrangères à l’organisme.

Protection hépatique :

Des expériences médicales ont montré que la chlorella protége le foie contre les substances toxiques.

Cœur :

Des recherches ont montré que le CGF de la chlorella assure une prévention efficace des affections cardio-vasculaires.

Hypertension :

On a constaté une régulation progréssive de la tension artérielle après la prise de chlorella pendant quelques mois. Le taux de Cholesterole et de Trigrlycéride ont diminué.

Equilibre acido basic :

Le Chlorella neutralise les acides en excès et les métaux lourds de l’organisme, restaurant l’équilibre acido-basic.

Immunité :

Les recherches les plus actuelles montrent que la Chlorella active la reponce immunitaire et accroît la production des cellules B et T de l’interféron.

Les elements nutritifs présent dans le Chlorella :

Proteines : 60 à 65%

Carbohydrate : 20 à 25%

Graisses : 5 à 15%

Les mineraux présent dans le Chlorella :

La Chlorella est un excellent source de Fer. Elle en contient trois fois plus que la Spiruline.

Ces minéraux principaux sont :

Magnésium, potassium, calcium, zinc, soufre, manganèse.

Les vitamines présentes dans la Chlorella :

La Chlorella contient 48mg de Bétacarotène pour 100g.

Le Bétacarotène est un agent antioxydant qui agit en synergie avec les vitamines E et C

Vitamine A :

Le Bétacarotène

Vitamines B :

B1 : Thiamine B7 : Inositol

B2 : Riboflavine B8 : Biotine

B3 : Niacine B9 : Acide Folique

B5 : Acide Pantothénique B10 : PABA

B6 : Pyridoxine B12 : Cobalamine

N’oublions pas que le Chlorella n’est pas une simple algue microscopique qui, lorsqu’elle est ingérée, apporte au corps certains éléments qui lui permettent de mieux se gérer et combattre ses maladies et de renforcer son système immunitaire de manière naturelle.

Aucune étude n’a pu prouver que la Chlorella agissait directement sur une maladie ou sur un symptôme particulier. En ce sens, elle ne peut être considérée comme un médicament. La Chlorella est un produit agricole, même si elle est produite sous des normes pharmaceutiques. Manger de la Chlorella, c’est ingérer toutes les partie d’une plante, ce qui est exceptionnel dans notre mode alimentaire.

Peut-être est-ce là aussi le secret de son efficacité !

La Chlorella est un véritable complément alimentaire naturel, considéré comme une aliment de santé exceptionnel.